Journée de la presse: Cellou estime qu’il faut  « se souvenir des journalistes emprisonnés ou assassinés dans l’exercice de leur metier »

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À l’instar des autres pays du monde, la Guinée a célèbré lundi la journée mondiale de la presse. À cette occassion, plusieurs leaders politiques s’inscrivent dans la dynamique de rendre homage aux journalistes. C’est notamment le cas de Elhadj Cellou Dalein Diallo, président du parti l’Union des Forces Démocratiques de Guinée. Sur sa page Facebook, le principal challenger du président Alpha condé pense aux hommes de médias, particulièrement à ceux qui subissent des privations de liberté ou assassinés.

 « Les Nations Unies ont fait du 3 mai la journée mondiale de la presse.

La liberté de la presse est essentielle pour l’existence et le fonctionnement d’un État démocratique. Elle ne peut vivre que du pluralisme des idées et de la diversité de leur expression.

C’est l’occasion de se souvenir des journalistes emprisonnés ou assassinés dans l’exercice de leur métier.

J’ai une pensée profonde pour le journaliste Amadou Diouldé Diallo, illégalement détenu à la maison centrale de Conakry, malgré la dépénalisation des délits de presse.

Le métier de journaliste est un sacerdoce. Il joue un rôle de sentinelle dans la défense de nos droits et libertés. C’est pourquoi toutes les dispositions doivent être prises pour assurer sa sécurité et son indépendance », écrit-il 

Malgré l’importance de cette journée, le gouvernement Guinéen n’a pu organiser un évènement grandiose, pour cause de la pandemie de COVID-19.

Jacques kamano




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