Guinée: vers la mise en place de la Haute Autorité de la Communication’

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Conakry- L’on s’achemine vers l’installation des membres de la Haut Autorité de la Communication (HAC) après la désignation de leurs membres par les structures concernées, a appris Afrinews.org de source officielle.

Dans un communiqué de la présidence guinéenne transmis à notre rédaction, les personnalités désignées pour être membres de la Haute Autorité de la Communication dont les Prénoms et Noms suivent sont convoquées en Assemblée plénière le Mardi 10 Mars 2015 à 10 heures précises dans la salle des Actes de l’Assemblée Nationale (Palais du Peuple) pour l’élection de l’organe dirigeant.

En raison de l’importance de l’ordre du jour la présence de tous est obligatoire. Ce sont :

1) Abdou Rahimi BAH : au titre du Conseil Supérieur de la Magistrature.
2) Oumar Yacine BAH : au titre de l’Association Guinéenne de la Presse en Ligne (AGUIPEL).
3) Hawa Camille CAMARA : au titre de l’Association des Professionnelles Africaines de la Communication (APAC-GUINEE).
4) N’fa Ousmane CAMARA : au titre du Ministère des Postes, Télécommunications et des Nouvelles Technologies de l’Information (MPTNTI).
5) Ousmane CAMARA : au titre de l’Union des Radiodiffusions et Télévisions Libres de Guinée (URTELGUI).
6) Sékou Tidiane CAMARA : au titre de la Fédération Nationale des Cinéastes de Guinée (FENACIG).
7) Martine CONDE : au titre du Président de la République.
8) Mory FOFANA : au titre de l’Association Guinéenne des Editeurs de la Presse Indépendante (AGEPI).
9) Alpha Kabinet KEITA : au titre de l’Association des Journalistes de Guinée/ Association des Professionnels de la Communication.
10) Joachim Baba MILLIMONO : au titre du Président de l’Assemblée Nationale.
11) Ibrahima Sory SYLLA : au titre du Collectif des Imprimeurs-Libraires-Bibliothécaires-Archivistes.

A rappeler que le retard dans la mise en place de l’observatoire nationale des droits de l’homme, la cour des comptes, la HAC et le conseil constitutionnel constitue une violation de la constitution. Puisque selon l’esprit de la loi, ces institutions devraient être mise en place six mois après l’investiture du président de la république élu.

Maladho Barry pour Afrinews




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